1. Un antistress naturel
Tricoter demande une certaine concentration (compter les mailles, les rangs, faire attention à ne pas faire d’erreurs, imaginer, créer…). Il s’agit donc de laisser de côté toute autre préoccupation et de rester focus sur son travail. C’est comme toute autre activité demandant de l’attention. Le cerveau ne peut pas se concentrer totalement sur deux choses à la fois. Je ne dis pas qu’on oublie complètement le reste, mais les autres choses prennent moins de place dans notre esprit et c’est ça qui fait lâcher prise. En d’autres termes, si nous restons trop focalisé sur ce qui nous préoccupe, le niveau de stresse va augmenter, alors que si l’esprit est occupé par autre chose de plus apaisant, le rythme cardiaque diminue et le stress sera moins présent. D’ailleurs, quand je suis plus calme, sereine, je trouve des solutions et tout me paraît moins grave… Pas toi ?
2. Bon pour le cerveau
3. La créativité
Le tricot fait appel à la créativité. S’inspirer, inventer, créer ou recréer, adapter, ajouter sa touche perso…
Il y a 1001 façon d’exprimer sa créativité, même si on n’est pas tous créatif ou du moins pas de la même manière. Mais tricoter un modèle, même à partir d’un patron c’est déjà créer. Créer son vêtement.
4. L’estime de soi
On ne croirait pas, mais si si ! Quand on termine un travail au tricot, qu’il soit facile ou difficile, on se sent toujours fier. Le mode boost est activé, dans le sens où ça nous montre que nous sommes capables de réaliser quelque chose à partir de nos 2 mains et de croire un peu plus en nous et en nos capacités. Généralement, nous passons plus de temps à nous faire des reproches et à voir les choses négatives en nous, alors qu’il est tellement important de noter les aspects positifs pour justement garder une certaines confiance en nous et une bonne estime de nous-même. Et les retours positifs des autres sont si précieux et on va pas se mentir, ça donne un petit “Ego Push” aussi. Du coup, c’est un cercle vertueux : je tricote, je suis fier de mon travail et hop ! Ego Push ! J’ai moins peur de me relancer. J’augmente le niveau de difficulté et c’est reparti ! Et ça donne envie de fonctionner comme ça dans la vie de tous les jours aussi ! Tu vois l’idée ?
5. La psychomotricité fine
Le tricot permet de développer la psychomotricité fine, ce qui est intéressant pour différentes choses du quotidien, car nous sommes souvent amenés à utiliser nos mains et nos doigts dans la vie de tous les jours et à manier des choses avec une certaines précision, une certaine souplesse… Donc tout benef non ?
Et l’arthrite, ça te parle ? Le tricot peut prévenir l’apparition de cette inflammation. En fait, en tricotant, nous faisons bouger nos mains, nos doigts et nos poignets. Ce mouvement oblige le fluide a circuler entre les cartilages et donc de toujours les maintenir hydratés. Et c’est ça qui va réduire le risque d’arthrite !
6. Réduire son temps d’écran
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